Envie d’abandonner ? Tenez bon encore 5 min

perseverance

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Ce que j’ai appris dans le monde sportif, j’essaie de l’appliquer  dans ma vie de tous les jours. Et c’est aussi une discipline de l’esprit, plus vous l’entraînez, plus dans les situations que vous rencontrerez, votre esprit sera fort ou faible, cela dépend comment vous avez agi dans le passé.

Lorsque vous pratiquez de la compétition sportive, pas une seule épreuve ne se ressemble, d’ailleurs vous n’êtes pas le même à chaque fois. C’est comme la vie, il y a des jours ou vous êtes en super forme et d’autres ou vous avez l’impression de ne pas avancer.

Quand vous avez une superbe forme, vous avez envie de faire une « place », c’est-à-dire d’être devant les autres, mais quand vous n’êtes pas bien, vous ne pensez qu’à une chose, au moins finir la course.

Et dans ce cas, quand j’avais envie d’abandonner, car le mental qui est assez paresseux, je me disais, « attends encore 5 min » ou « tiens le coup encore 5 min »

La persévérance des 5 min

Lorsque vous sentez que vous avez atteint la limite (en fin de journée par exemple), posez-vous 5 minutes, puis faites-en un peu plus. Continuez malgré tout, même si vous en avez marre, pendant un court instant.

Vous n’aurez peut-être pas terminé votre liste de choses à faire, mais savoir  que vous avez donné votre meilleur vous permettra de commencer la journée du lendemain avec un surplus de motivation, ce qui vous aidera à rattraper le retard.

Il ne faut pas se projeter sur un gros travail hypothétique terminé, car si vous regardez trop loin, devant le travail à accomplir vous allez vraiment abandonner.

Un jour après un marathon à Paris, un neveu me demande comment cela avait été. Je lui réponds que je n’étais pas bien pendant les 10 premier km, mais que les 30 km restant ca avait été.

Il m’a regardé en me répondant que ce n’est pas normal, c’est l’inverse normalement ?

Seuls les véritables sportifs peuvent comprendre, lui ne l’était pas du tout, sauf à la télévision J donc on peut ne pas être bien au début même en sport et le rythme, l’entraînement passé, etc. comment à faire son œuvre après un temps d’adaptation. C’est le fameux second souffle dont parlait déjà mon grand-père.

Quand on se connaît très bien, on sait que l’on peut être mieux plus tard même si cela ne va pas maintenant.  Voilà pourquoi il faut toujours pousser 5 min plus loin. Et même si vous n’avez jamais été sportif, pensez au cycle chinois Yin/Yang, tout se transforme, rien n’est statique, retenez quand dans 5 min, rien ne pourrait être comme avant…

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