Développez vos potentiels à l’aide de votre Biorythme…

calculez vos biorythmes

Développez vos potentiels à l’aide
de votre Biorythme…


Développez vos potentiels

Imaginez que l’hiver s’abatte sur la forêt tropicale.

Le feuillage perpétuel des arbres gèlerait bien vite sous les frimas, et la forêt mourrait bien avant le retour de l’été.

Dans nos régions, fort heureusement, les arbres perdent leurs feuilles en hiver, et peuvent ainsi s’adapter au changement de température.

Grâce à ce rythme biologique de vie et de mort du feuillage, l’arbre reste en vie.

En fait, le vivant est rythme.

Et le rythme est votre vie même !

Il témoigne de votre effort pour vous adapter à votre environnement.

Évidemment, le rythme procède d’une succession de déséquilibres… qui peuvent paraître inquiétants.

Mais comment l’évolution serait-elle possible sans déséquilibre ?

Quand vous marchez, chaque pas vous fait pencher d’un côté, puis le suivant de l’autre.

En réalité, tant que vous avancez, aucun déséquilibre momentané ne peut entraîner votre chute.

Et cela, dans tous les domaines de votre vie.

Il vous suffit de connaître et de respecter les rythmes de la vie pour ne jamais cesser d’évoluer, et pour développer vos potentiels.

Par contre, c’est en vous opposant au rythme naturel de la vie que vous commencez à courir un danger.

Or, la société actuelle vous incite bien trop souvent à adopter des rythmes particulièrement antinaturels.

En appliquant la science des rythmes, vous pourrez donc éviter beaucoup de stress inutile et surtout développer vos potentiels !

Vos biorythmes

La 1re piste qui vous est aujourd’hui offerte, en matière de développement de vos potentiels par la gestion de vos rythmes biologiques, est évidemment celle des biorythmes.

Que peuvent-ils pour vous ?

  • Ils vous permettent de savoir quand vos facultés intellectuelles seront au mieux de leur forme, pour mémoriser un apprentissage ou créer une œuvre de l’esprit.
  • Ils vous aident à décider quand vous entraîner physiquement, en vue d’une épreuve sportive.
  • Ils vous signalent quels seront vos meilleurs jours pour récupérer, après une intervention chirurgicale.
  • Ils vous mettent en garde contre d’éventuels débordements émotionnels qui pourraient vous porter préjudice dans votre vie familiale ou professionnelle, etc.

Quelles sont les preuves de leur efficacité ?

Même si le sujet reste relativement controversé dans les milieux scientifiques, on sait par exemple que :

  • En Roumanie, depuis l’application des biorythmes chez les chauffeurs de taxi, le nombre de morts par accident a diminué de 83 % et en 3 ans, le nombre de blessés est passé de 3.600 à 244.
  • Au Japon, près de 5.000 compagnies de taxis utilisent également les biorythmes. Ces sociétés mettent systématiquement les chauffeurs en congé pendant ces périodes critiques. Résultat : le taux des accidents a baissé de 50 %.
  • Aux U.S.A., une compagnie de bus a fait état de 4 millions de kilomètres parcourus, sans aucun accident depuis la mise en place de l’analyse biorythmique pour établir l’emploi du temps des chauffeurs.

Enfin, plusieurs autres statistiques montrent que de nombreux accidents dus à une erreur humaine s’étaient produits, alors que les chauffeurs de bus ou les pilotes d’avion se trouvaient en période critique.

Nul doute donc, que les résultats de la mise en application des biorythmes dépassent très largement ceux que l’on pourrait obtenir par l’autosuggestion… ou le hasard !

Une découverte révolutionnaire

C’est le docteur Swoboda qui, le 1er, au 19e siècle, découvrit l’importance de ces cycles que l’on appelle aujourd’hui les biorythmes.

“Il n’est pas nécessaire”, écrivait-il, “de vivre longtemps pour se rendre compte que la vie est sujette à des changements essentiels.

“Même si quelqu’un pouvait mener une vie d’où toute influence extérieure serait exclue, une vie que rien ne trouble, cette vie, néanmoins, ne serait pas la même, jour après jour”.

Enseignant à l’Université de Vienne (Autriche), Hermann Swoboda constata, par l’observation clinique, que certaines poussées de fièvre, douleurs, affaiblissements, ou crises d’asthme, se produisaient de manière cyclique.

Un travail clinique minutieux l’amena ainsi à définir 2 cycles de 23 et 28 jours, d’ordres biologique et psychologique.

Fliess, à la suite de Swoboda, établit, d’après des statistiques, l’existence d’un 3e cycle, émotionnel celui-ci, d’une durée de 28 jours.

Après ces 2 pionniers, plusieurs médecins psychologues et chercheurs arrivèrent à des conclusions identiques.

Dans les années 20, c’est le professeur Alfred Telts, aux États-Unis, qui ajouta sa pierre à l’édifice, en démontrant la périodicité du comportement intellectuel.

Ce dernier cycle fut estimé d’une durée de 33 jours, et attribué à l’activité de la glande thyroïde.

Et c’est finalement en 1973 que paraît une 1re synthèse, en matière d’analyse biorythmique.

D’où viennent ces rythmes ?

L’origine physiologique de ces rythmes se situerait au moment de la formation embryologique de l’être humain.

L’embryon est, en effet, formé de 3 couches :

  • L’endoderme qui représente les futures muqueuses digestives et les glandes annexes. Dans le système des biorythmes, il serait responsable du cycle émotionnel.
  • Le mésoderme qui représente les futurs os, muscles, sang et organes sexuels. Dans les biorythmes, il correspondrait au cycle physique.
  • L’ectoderme qui représente le futur système nerveux et les organes des sens. Il correspondrait au cycle intellectuel.

Mais attention : concernant ces cycles, on ne peut parler de bonnes ou de mauvaises périodes.

On les définit comme comportant :

  • une période d’activité, dite aussi “de décharge” ou “haute” ;
  • une période de réceptivité, dite “de recharge” ou “basse” ;
  • des jours “critiques”.

Comment se présentent-ils ?

La représentation graphique des biorythmes la plus couramment utilisée est la sinusoïde.

Cette représentation est la plus pratique, faisant instantanément apparaître vos périodes hautes et basses.

Quant à vos jours critiques, ils sont représentés par l’intersection de la courbe avec l’horizontale.

Le mouvement de chaque courbe indique la direction que prendront vos énergies.

Mais vous ne pourrez interpréter votre biorythme qu’en étudiant les 3 cycles ensemble.

Ainsi, vos états d’âme, votre caractère, vos facultés cérébrales, voire votre destin, disent certains auteurs, varieraient en fonction de rythmes propres à votre organisme.

C’est le jour de votre naissance qui compte comme origine des 3 courbes.

Celles-ci, durant toute votre vie, se croisent et s’éloignent, pour ensuite se rejoindre et encore se distendre.

Elles définissent ainsi vos bons et mauvais jours sur les plans physique, émotionnel et intellectuel.

En théorie, pour connaître vos jours critiques, vous devez calculer le nombre de jours que vous avez vécus, et le diviser par 23, 28 et 33, soit la durée en jours des 3 cycles biorythmiques.

En pratique, vous n’avez, fort heureusement, pas à vous livrer à ce calcul. Il existe des calculettes, logiciels et sites internet qui s’en chargent pour vous !

Le cycle masculin de 23 jours

C’est votre rythme physique.

Il a une période de décharge haute de 11 jours et demi.

Il correspond à une ouverture vers l’extérieur, à la pénétration physique de l’environnement.

Durant cette période d’activité, votre résistance physique est meilleure.

C’est le moment pour vous de faire des efforts physiques et sportifs.

C’est l’époque où votre physiologie dispose d’un maximum d’énergie.

C’est aussi le meilleur moment pour une intervention chirurgicale inévitable.

Quand votre rythme physique est descendant, votre énergie baisse. Vous vous fatiguez plus vite et vous avez moins de résistance. Cela peut aller jusqu’à une petite dépression.

Réagissez-y en combinant repos et distractions. Rechargez vos batteries. Prenez des vitamines, et notamment de la C et de la E, ou encore du ginseng. Adopter un régime alimentaire énergétique, avec beaucoup de crudités et de fruits.

Le cycle féminin de 28 jours

C’est le rythme émotionnel.

Il a une période de décharge haute de 14 jours.

Fliess l’a appelé “cycle féminin”, considérant qu’il reflète la part féminine de l’individu.

Sa période haute se caractérise par un bon tonus nerveux, de l’optimisme, de la gaieté, de la sensibilité et de la créativité.

Vos relations familiales et professionnelles sont alors plus aisées grâce à une meilleure disponibilité.

La période de recharge basse, durant laquelle votre résistance nerveuse est moins bonne, pourra cependant être mise à profit pour une certaine intériorisation, pour la méditation.

Quand votre rythme émotionnel est descendant, vous devenez plus pessimiste que d’habitude, et vous ne croyez plus à grand-chose. Vous avez peut-être même tendance à vous renfermer.

Pour lutter contre cette tendance, si elle vous gêne, occupez votre esprit à des choses que vous trouvez amusantes. Entourez-vous d’amis. Regardez des comédies. Écoutez des musiques qui vous font du bien.

Le cycle intellectuel de 33 jours

Il se rapporte aux facultés de l’esprit.

Il comporte une période de décharge haute de 16 jours et demi.

Durant cette période, vous pouvez compter sur une meilleure souplesse intellectuelle et une mémoire plus efficace.

Cela vous permettra notamment d’avoir une bonne appréciation des événements, et d’appliquer des décisions plus justes.

En période de recharge basse, vous privilégierez le temps de la réflexion intérieure.

Profitez-en pour orienter vos pensées vers une nouvelle organisation de votre vie.

Toutefois, quand votre rythme intellectuel est descendant, vous pouvez avoir tendance à être intellectuellement à sec.

Si c’est le cas, ne forcez rien et, dans la mesure du possible, préférez apprendre que créer.

Comment analyser vos biorythmes ?

Plusieurs facteurs vont moduler l’analyse de votre biorythme :

■ Ne considérez jamais un cycle isolé, mais associez-le à la position des autres. Si par exemple, votre cycle intellectuel est en haut et vos autres cycles en bas, cela relativisera évidemment votre forme intellectuelle.

■ Tenez compte du fait que la position haute d’un ensemble biorythmique en hiver n’aura pas la même signification qu’une même position au printemps, en été ou en automne. Votre vie dépend directement du soleil, et votre système glandulaire en règle les effets, grâce à la glande pinéale. Aux moments de luminosité moindre (nuit, hiver), la glande pinéale restreint l’activité de l’hypothalamus et en conséquence, celle de l’hypophyse et de la thyroïde. Ainsi, les périodes hautes de l’hiver seront de moindre intensité que celles du printemps.

■ Tenez compte de votre physiologie et de votre psychisme personnels. Une courbe identique pour 2 individus n’aura naturellement pas la même intensité.

Enfin, pour commencer à pratiquer, calculez votre biorythme actuel en vous rendant simplement sur des sites internet spécialisés.

En voici quelques-uns :

http://www.biorythme.net/

http://www.alba-saint-ange.com/xephyr/biorythmes/

http://www.bioduct.org/biorythme.html

http://www.biorythmes.free.fr/index.php

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.