Voici une histoire vraie d’une coïncidence troublante relatée dans le journal du Daily Mail du 28 octobre.
Newbigging de Lincolnshire en Angleterre, raconte ce qui lui est arrivé :
« Dans les années soixante, je fus affecté à une unité de cavalerie de l’armée britannique en Allemagne. On m’a donné la tâche de capturer 4 soldats dans un exercice d’entrainement.
Les trois jours consistaient à être transportés par camion et largué quelque part que nous ne connaissions pas avec seulement une boussole, une carte, des sous-vêtements et un sac de couchage.
Nous sommes arrivés à temps à un rendez-vous et nous n’avons pas été autorisés à effectuer des retraits d’argent. Nous avons également cherché de la nourriture et nous avons pu dormir que dans les étables.
Le troisième jour, fatigués et affamés, nous sommes arrivés à un très joli village quelque part en Bavière. Nous avons remarqué qu’il y avait une fontaine ou jaillissait de l’eau, de sorte que nous nous sommes précipités vers elle pour remplir nos bouteilles d’eau. Alors que nous faisions cela, on n’a entendu des villageois très en colère. Nous ne pouvions pas comprendre ce qu’ils disaient, mais nous comprenions la manière dont ils le disaient!
Nous avons essayé de régler le problème quand un monsieur gentleman qui parlait un très bon anglais nous a offert une place dans sa maison, qui était une ferme.
Nous avons été bien nourris avec du vin et des lits pour dormir- ce monsieur était très généreux.
En discutant, il est apparu qu’il avait été prisonnier de guerre au Royaume-Uni et a Oxford.
Je lui ai dit que c’était ou je vivais et quand j’avais 11 dans les années quarante, je m’étais fait des amis avec quelques prisonniers allemands (contre les instructions de la maman) cachés dans un fossé au bout de notre route.
Je leur donnais des morceaux de bois et de l’étain, et ils nous faisaient des jouets fabuleux que les enfants pourraient alors acheter pour quelques centimes.
Je lui ai dit qu’un prisonnier allemand m’a fait un jouet, après lui avoir apporté du bois et de l’étain, une poule qui picore, et il me l’a donné pour comme je n’avais pas assez d’argent pour le payer.
Je fus étonné quand notre hôte me dit qu’il avait été ce prisonnier et qu’il se souvenait bien de cet enfant miteux de 11 ans, qui était moi, 20 ans plus tard. »
Je crois que statistiquement, il n’existe pas assez de chiffres pour calculer le nombre de chances qu’il avait pour rencontrer cet allemand.