3 trucs de grand-père pour être plus heureux

Dans cet article, pas de bouddhisme, ni de développement personnel ou de théories de littérature, seulement ce que j’ai entendu au sein de ma propre famille par des personnes âgées qui avaient déjà bien vécu.

1 – Ne dépense pas plus que tu gagnes

J’ai entendu cette phrase bien avant la crise de 2008, bien avant le surendettement records de tous les Français.

C’est une phrase remplie de sagesse que les pays n’appliquent même pas eux-mêmes et c’est parce que cette phrase n’est pas appliquée qu’il y a eu une crise en 2008. En fait, on m’a dit littéralement, que si je gagnais un euro et que j’en dépensais deux, je ne pouvais pas y arriver.

Récemment une personne âgée me disait que les gens étaient endettés pourtant, il avait des téléphones portables avec des abonnements élevés alors que l’on peut se passer de téléphones portables.

Ce que les personnes âgées ne comprennent pas est, comment on a réussi à nous faire croire que des appareils sont indispensables à notre bonheur quitte à s’endetter.

2 – Se faire du souci pour des broutilles

Les personnes âgées de ma famille avaient tous traversé la 2e guerre mondiale, ils avaient tous entre 10 et 15 ans à cette époque mais quand on elles observe cette génération avec le recul de leur vie et des rationnements alimentaires, on est pratiquement des cas désespérés. En effet, j’ai écrit le titre « se faire du souci pour des broutilles » alors que l’expression que j’ai entendue est plutôt « s’emmerder pour des broutilles ».

D’après eux, avec le confort dû au progrès technologique, on devrait être plus heureux, sauf que l’on se fait une montagne d’un grand de sable dans notre vie donc on a l’art de dramatiser…

3 – Ne pas appréciez ce que l’on a

Ce qui découle un peu du second point. Combien de fois ai-je entendu les anciens de ma famille conseillés à mes parents d’apprécier déjà ce qu’ils avaient ? Ce que les personnes âgées ne comprennent pas très bien c’est la course à la consommation, car ce que l’on a eu, n’a pas eu le temps d’être apprécié à sa juste valeur. On jette ou on met de côté très facilement.

En fait, par rapport aux générations précédentes, les appareils se changent beaucoup plus rapidement en devenant obsolète et en nous faisans croire qu’il faut acheter le nouveau modèle. D’ailleurs, même dans le domaine de la fiabilité, ils sont conçus pour durer nettement moins longtemps qu’avant pour qui 10 ans était le minimum.

Donc d’après les anciens ce consumérisme participe à notre manque de bonheur en étant toujours dépendant. Le « lâcher prise » est une expression qui n’était pas utilisée en occident, pourtant les conseils que j’ai entendu des anciens lui ressemble.

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