Hier dans la nuit, je me suis réveillé en sueur avec une question déterminante, « mais pourquoi les témoignages de gens voyant des fantômes ainsi que les photographies montrent des esprits habillés ? »
Bon j’avoue que la scène me réveillant la nuit est exagérée, mais je me suis bien posé la question, mais pourquoi les fantômes ne sont pas tout ?
Alors je me suis dit qu’ils étaient peut être pudique, qu’ils étaient eux aussi remplis de complexe, car comme nous ils ont des vergetures, des bourrelets, etc. à cause de la « mal bouffe » dans l’eau delà.
Trêve de plaisanterie, c’est tellement commun de voir les gens habillés que quand un fantôme a été pris en photo, on ne se pose pas la question.
La tradition nous montre les fantômes recouverts d’un linge blanc représentant le linceul du cadavre s’apparentant à un drap.
Est-ce la preuve que les fantômes habillés sont des canulars ?
Non, car il existe des clichés ou les esprits et fantômes photographiés sont nus. Il n’y en a pas énormément, c’est vrai, mais ils existent.
En fait, tout se passe comme si ce que nous apercevons est une rémanence de la réalité passée. C’est un phénomène connu dans l’optique, l’original n’existe plus, mais nous continuons à voir une trace provisoire de ce qui s’est passé. Surtout qu’ils sont photographiés ou vu avec les habits de leur enterrement.
Mais la rémanence optique est provisoire, il faut pour cela voir l’objet ou la personne quelques secondes avant, or dans le cas des esprits, la plupart du temps nous n’avons pas vu la personne du tout, car il arrive de ne pas la connaitre.
Donc la cause, ne peut pas venir de notre perception mentale, mais de la « trace » que laisse notre fantôme, peut-être pour être identifié ou une manifestation de l’énergie inconsciente dans notre réalité.
Je m’explique, si vous fermez les yeux et que vous vous imaginez il est fort probable que vous vous voyez avec vos derniers vêtements. Donc en fait, je pense qu’après la mort l’esprit garde l’image de comment il était habillé et que c’est cette image qui est projetée pour nous, comme une mémoire résiduelle.
