Est-ce une coïncidence ou une force qui nous dépasse…

Article de journal qui raconte cette histoire

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Une nuit pendant la guerre du Pacifique, un bombardier américain piloté par le major Allen Lindberg de Westfields NJ, revenait à sa base en Australie lorsque l’un des quatre moteurs de l’avion tombe en panne.

Le bombardier a commencé une lente plongée douce vers la mer, 20 000 pieds de chute. Peu avant l’aube, il s’est écrasé. Les neuf membres d’équipage séparés en deux radeaux de sauvetage en caoutchouc, sans avoir eu le temps d’embarquer de la nourriture et de l’eau douce.

L’avion avait complètement sombré, et les deux bateaux de caoutchouc étaient dangereusement surchargés. Selon le navigateur, la terre la plus proche était à des centaines de miles de là. Ils n’avaient pas de rame, ils ont pagayé avec leurs mains – jusqu’à ce que les requins apparaissent…

Puis ils ont arrêté de ramer.  Ils ont donc dérivé toute la journée et toute la nuit. Le lendemain matin, la mer était toujours plus vide que jamais, et le soleil des tropiques tapait sur leur tête.

Leurs lèvres étaient fissurées et leurs langues enflées par la soif qu’ils pouvaient à peine parler. Mais en fin après-midi du 2e jour, un spectacle incroyable: une petite île bordée de palmiers se trouvait droit devant eux ! Un courant océanique invisible parmi quelques  qui coulent comme des rivières à travers la mer avait conduit leur embarcation droit jusqu’à l’île.

Trois pirogues indigènes sont venues à leur rencontre, les remorquer jusqu’à la terre ferme, et ils leur ont donné de la nourriture et de l’eau.

Deux semaines plus tard, les neuf hommes ont été repérés par un avion de patrouille et ramenés à leur base en Australie.

1re coïncidence : Leur avion s’était écrasé en plein milieu d’un courant océanique.

2e coïncidence : Le courant est arrivé juste devant l’île. Mais cette île était inhabitée.

3e coïncidence : Les indigènes qui les ont sauvés vivaient sur ​​une autre île, à plus d’une centaine miles. En pêchant, ils avaient ressenti une soudaine impulsion de visiter cette île particulière – en effet, depuis des années, ils n’avaient pas été sur cette ile.

4e coïncidence : Les indigènes sont arrivés quelques heures seulement avant l’arrivée des deux radeaux sur l’ile. Ils auraient pu ne jamais se croiser.

En fait, je crois que c’était écrit dès le début que les passagers de cet avion ne devaient pas mourir, mais qu’il devait vivre seulement une expérience qui surement leur a laissé une trace indélébile pour toute leur vie.

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