Programmer son ADN par la pensée et s’aider à guérir

Changez votre ADN...

Programmer son ADN par la pensée et s’aider à guérir

Changez votre ADN...
Changez votre ADN…

Je suis content de vivre cette époque, car nous sommes à un tournant de ce que l’on croyait savoir sur l’être humain.

On a cru pendant très longtemps que nous étions déterminés et prévisibles par les gènes, que le simple fait d’être fainéant était excusable, car on avait le gène XYZ dénommé « canapé » qui nous poussait irrésistiblement contre notre volonté à s’asseoir et ne plus bouger.

C’était le seul domaine ou scientifiques et voyants étaient d’accord, « vous êtes un pantin entièrement contrôlé ».

Quand j’étais prévisionniste, qu’est-ce que ça m’arrangeait d’appartenir à cette mouvance, « ce n’est pas moi c’est mes gênes », « ce n’est pas moi c’est mon thème », etc. Qu’est-ce que j’étais bien, rien n’était de ma faute, je trouvais le bonheur dans ma non-responsabilité.

Ma foi cela peut convenir à certaines personnes comme ça me convenait, l’essentiel est d’y trouver son compte. Seulement voilà… Inévitablement à un moment ou à un autre ces croyances  arrivent à une situation bloquante, on voudrait être autre chose alors on attend que le destin le fasse pour vous, mais cela n’arrive jamais… Et on arrive à une fin de vie aigrie, jalousant ceux qui ont l’impression d’avoir leur destin entre leurs mains. Vous les reconnaissez facilement, c’est ceux qui vous critiquent facilement sur vos pensées, sur vos choix, etc. alors que ça devrait leur être complètement égal puisque ce que vous pensez ou ce que vous faites ne va jamais modifier quoi que ce soit dans leur vie.

D’ailleurs, c’est pour cette raison que la psychologie affirme que l’on reproche à l’autre est-ce qu’on est soi-même puisqu’il y a une résonnance en soi. Et quand on parle d’évolution, c’est justement la faculté de s’en apercevoir et de faire en sorte de ne plus critiquer ou juger.

Mais bon, revenons à notre déterminisme génétique qui devient de plus en plus erroné au fur et à mesure que la recherche progresse. Auparavant, la science se basait juste sur l’observation, on décryptait l’ADN, chaque gène correspondait à tel comportement, etc.  On est juste arrivé à un problème de taille… Nous avons 23.000 gènes environ alors qu’il en faudrait plus de 100.000 pour expliquer notre fonctionnement, le déterminisme en prenait donc un coup. La vérité était ailleurs…

C’est quand on a commencé à étudier le rapport entre le cerveau et la génétique qu’on a commencé à avoir des éléments de réponse. En fait, l’ADN a beaucoup moins d’influence sur la vie que ce que l’on pensait.

Par exemple, après 20 ans d’étude des chercheurs ont découvert que des facteurs comme l’amour, la satisfaction, l’anxiété et même la colère influencent la biologie d’une personne.

Dans une expérience réalisée à l’Institut de HeartMath à Boulder Creek en Californie, on a mi de l’ADN dans des éprouvettes et on a partagé 2 groupes de personnes. Dans un groupe, les personnes généraient des pensées positives avec une technique de respiration, donc pour se mettre état de cohérence cardiaque, tandis que l’autre groupe ne faisait rien. Vous imaginez la suite, le premier groupe a réussi à modifier l’ADN à l’aide de l’intention, tandis que le second groupe qui ne faisait rien n’a jamais réussi.

Jamais on n’aurait pensé que l’ADN était programmable et pourtant c’est le cas. C’est une révolution médicale et de la liberté humaine…

Vous pouvez aussi lire mon autre article sur comment sont transmis, les émotions d’une génération à l’autre à l’aide de l’ADN : Parler à votre famille vous sauvera la vie

Mais ce n’est pas tout, sans atteindre l’ADN, lisez attentivement cette étude scientifique médicale de la Baylor School of Medecine, tiré du livre « La biologie des croyances du Dr BRUCE LIPTON (Biologiste cellulaire) aux éditions Ariane :

« Publiée en 2002 dans le New England Journal of Medecine, l’étude a évalué la chirurgie dans le cas de douleurs débilitantes sévères au genou. Le principal auteur de l’étude, le Dr Bruce Moseley, « savait » que la chirurgie aidait ses patients. « Tout bon chirurgien sait qu’il n’y a pas d’effet placebo en chirurgie ». Or, Moseley tentait de comprendre quelle partie de la chirurgie soulageait ses patients. Dans son étude, les patients se divisaient en trois groupes. Dans le premier groupe, Moseley avait cureté les cartilages du genou endommagé de ses patients ; dans le deuxième groupe, il avait lavé l’articulation et retiré la matière qu’il croyait être la cause de l’inflammation. Ces deux procédures constituent en effet le traitement courant dans le cas d’arthrite du genou. Quant aux patients du troisième groupe, ils avaient subi une « fausse » chirurgie. Après leur avoir administré un sédatif, Moseley  fit les trois incisions habituelles, parla et agit comme durant une véritable opération, et aspergea même le genou d’eau salée pour simuler le bruit d’une procédure de lavage. Au bout de quarante minutes, il recousit les incisions comme dans une chirurgie. Aux trois groupes, il prescrit les mêmes soins postopératoires, dont un programme d’exercices.

Les résultats furent incroyables. Bien sûr, comme on s’y attendait, les groupes ayant subi une chirurgie s’étaient améliorés. Cependant, le groupe placebo s’était amélioré tout autant que les deux autres ! Malgré le fait qu’il y ait actuellement 650 000 chirurgies du genou, coûtant chacune 5 000 $, pour Moseley les résultats étaient clairs : « mes talents de chirurgien n’ont été d’aucune utilité à ces patients. L’avantage d’une chirurgie pour l’arthrose du genou est entièrement attribuable à l’effet placébo ».

 

Comprenez-vous pourquoi nous savons maintenant que 80 % des médicaments prescrits sont déclarés inefficaces  ? Car on sait que le cerveau produit toutes les molécules qu’on vous prescrit dans les médicaments, c’est lui votre véritable guérisseur. Il est le plus important labo pharmaceutique du monde, c’est un créateur dans tous les domaines.  Le problème est que les gens ne le savent pas, ils exploitent à peine 10% de ces potentialités.

Dans un premier temps, si vous aimez aider les autres, est de le faire savoir, car à partir du moment ou les gens le croient, ils engagent un processus d’auto amélioration physique et mental. Et malheureusement, l’inverse est aussi vrai…

La science et la spiritualité s’entendent de plus en plus sur le fait que vous êtes un créateur, vous avez plus de pouvoir sur vous que vous ne le pensez. Le seul problème est que quand on n’en a pas conscience, on laisse la réalité extérieure créer pour vous donc on ne contrôle plus rien.

 

 

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