MAGNIFIQUE ! 67 ans après le débarquement, une ÉNORME coïncidence…

Voici une histoire qui m’a ému, car habitant la Normandie et je connais le musée ou s’est passé cette étonnante coïncidence.

En fait, il faudrait lire cette histoire avec une musique douce derrière…

Il s’agit de l’histoire de Clifford Baker et Bill Betts formés comme opérateur radio avant d’être envoyé sur les plages du débarquement à Arromanches.

Sur la plage Bill ressent une douleur à la jambe, il vient d’être touché par une mitrailleuse allemande, il git donc blessé et il aperçoit son ami Clifford, mais il lui dit surtout de continuer à courir, de ne pas l’attendre. C’est la dernière fois qu’il le vit, enfin presque…

Bill est resté blessé sur la plage pendant 8 heures, jusqu’à ce qu’il soit finalement secouru par les forces américaines.

67 ans après, Bill, qui avait survécu à ce débarquement, revient sur la plage d’Arromanches où il a été blessé et il est décoré au musée « D-Day » par le maire de la ville pour lui remettre une médaille commémorative. Il signe le livre souvenir, mais en posant son regard sur la page, il remarque le nom précédent le sien, Clifford Baker, son vieil ami, et l’encre était fraiche.

Il demande au maire, ça fait combien de temps que le monsieur ait signé avant lui ? Et sa réponse lui donna un CHOC ! Ça faisait 20 min qu’il était parti.

Il est sorti de suite pour le chercher et il l’a retrouvé sur le parking. Les retrouvailles ont été émotionnellement intenses, car ils pensaient ne jamais se revoir. De nationalité américaine, ils se retrouvent en France après s’être quittés en France. La boucle est bouclée !

Clifford a déclaré aux journalistes, « Clifford et moi étions tout à coup face à face, vous pouvez imaginer combien c’était intense. Nous avons eu une discussion à propos du « D-Day » et les événements qui se sont produits pendant toutes ces années. Les souvenirs sont encore très clairs dans mon esprit. J’étais tellement heureux après toutes ces années de revenir sur la même de plage ou j’ai débarqué. La rencontre avec mon vieux camarade Bill était inattendue, mais très heureuse et émotionnelle. Je ne pensais jamais le revoir. »

Encore une extraordinaire coïncidence de plus, mais vous commencez à en avoir l’habitude avec ce blog.

Les voici sur le parking du musée :

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