J’ai ressuscité grâce aux témoignages des NDE…

La vie après la mort à l’hôpital...

Existe-t-il une vie après la mort à l’hôpital ?

La vie après la mort à l’hôpital...
La vie après la mort à l’hôpital…

C’est une histoire vraie puisque je l’ai vécu.

C’était 4 ou 5 jours après avoir participé au marathon de Paris, il était environ 23h et je commençais à ne pas me sentir bien.

J’avais des difficultés à respirer, avec une douleur de la poitrine à l’abdomen. Je n’ai pas voulu inquiéter ma femme en me disant que ça allait passer, je l’ai laissé dormir…

Et puis, en pleine nuit, la douleur est devenue insupportable. Pourtant, j’ai un seuil de tolérance à la douleur très élevé, on est obligé quand on est sportif, mais là…

J’ai réveillé ma femme, elle a vu que je respirai comme un chien qui avait soif en me tenant le ventre.  C’est seulement après 5 demandes de sa part que j’ai accepté d’aller aux urgences, je ne pouvais plus tenir.

On arrive à l’hôpital et évidemment comme je venais de faire le marathon, ils ont de suite pensé à la crise cardiaque.

Personnellement, comme je connais très bien mon corps j’étais persuadé que ce n’était pas ça.

Il m’emmène dans une grande pièce avec perfusion et branchée à des électrodes.

J’aime bien regarder mes pulsations, car j’ai l’habitude de vérifier mon pouls, je cours avec un cardiofréquencemètre. Je remarque un pouls entre 100 et 110, ce qui pour moi est beaucoup puisqu’au repos il est à 50. Mais je ne m’affole pas, je suis dans une crise de douleur, logique que le pouls monte.

Je n’arrêtais pas de dire aux médecins et infirmières : « mais non ce n’est pas une crise cardiaque ». À quoi bon, pour eux, ils ne voyaient que le côté « Marathon = crise cardiaque ».

Après la prise de sang, ils me laissent seul dans cette pièce froide.

Je ferme les yeux pour que le temps passe plus vite et d’un seul coup…

Un sifflement de la machine, je regarde l’écran et stupeur ! Le tracé est plat, le pouls est à zéro.

Première réaction, je me touche, ensuite je regarde autour de moi, car je sais que je peux être vraiment en arrêt cardiaque, car les témoignages de ceux qui sont revenus de la « vie après la mort » prouvent que l’on est encore conscient. Mais quelque chose cloche, si j’étais mort, je devrais voir mon corps et non le plafond. Enfin, c’est ce que pratiquement tous les témoignages de NDE rapportent.

Et là je commence à avoir un doute, mon côté nationaliste reprend le dessus et surtout ma formation d’électricien.  Je commence à contrôler un à un mes électrodes et BINGO ! Une électrode dans mon dos s’était débranchée. Je l’à rebranche et la machine repart.

Une fausse vie après la mort

Le comble dans cette histoire est que si cela avait été une véritable crise cardiaque, j’aurais pu mourir, puisque personne n’est venu. Aucune infirmière, aucune aide-soignante… C’est ce qui m’a le plus effrayé à posteriori.

De plus, heureusement que je n’étais pas cardiaque, car avec le pouls à zéro, la peur aurait pu en finir avec moi.

Donc, non ce n’était pas une crise cardiaque, mais un gros caillou dans la vésicule biliaire que l’on m’a enlevé peu de temps après. 1 mois après je recourrais normalement.

Ce n’est pas non plus une histoire surnaturelle, même si pour moi le côté « paranormal » est la non-venue du personnel médical, lors de l’arrêt de l’appareil de mesure cardiaque.

La moralité de cette histoire est que l’on peut mieux connaitre son corps que les médecins eux-mêmes et surtout que les lectures sur les NDE influencent notre perception au moment où l’on se voit partir. Donc n’hésitez pas à écouter votre ressenti, c’est d’ailleurs le but de ce blog d’apprendre à vous écouter. Ça marche très souvent pour moi, alors pourquoi pas vous ?

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